Si je me fais renverser par un camion… par Aaron Swartz (à 16 ans)

Au delà de l’émotion des circonstances, voici la traduction d’une note d’Aaron Swartz qui pose la question du devenir de nos données après notre mort.

Et pour ce qui concerne le code, le léguer à la FSF est une bonne idée 😉

Cet article est rangé dans le répertoire « 2002 » de son site. Il avait alors 16 ans !

Doc Searls - CC by

Si je me fais renverser par un camion…

If I get hit by a truck…

Aaron Swartz – 2002 – Site personnel
(Traduction : Moosh, lgodard, zozio nocture (aka brandelune), aKa, Sky)

Si je me fais renverser par un camion… lisez cette page.


Il y a une vieille blague chez les programmeurs sur qui va gérer le code si son auteur se fait renverser par un camion. Cette page est ici pour assurer que tout le monde sache quoi faire si, pour une raison donnée, je ne suis plus en mesure de conserver mes services Web en fonctionnement.

Je désigne Sean B. Palmer comme mon exécuteur testamentaire virtuel pour l’organisation de ces choses (et Sean, si tu effaces quoi que ce soit, je te hanterai de ma tombe !)

Je demande que le contenu de tous mes disques durs soit rendu public sur aaronsw.com.

Web.Resource.org Sean (ou la personne qu’il désignera) deviendra le nouveau webmaster. Continue de mettre à jour le site et la liste des miroirs, et garantis la persistance des URLs. (Ceci implique que rien de controversé ou d’illégal ne doive être ajouté, à part pour Cryptome.)

Code Source Le copyright pour mon code source sous GPL doit être transféré à la Free Software Foundation. Elle semble avoir une politique raisonnable concernant la mise à disposition du code.

Sites Web Merci de laisser les sites Web opérationnels quand c’est possible, sans modifier les contenus que j’ai écrit quand approprié. Des pages dédiées (par exemple sur aaronsw.com) pourront contenir une note sur ce qui m’est arrivé avec un lien vers des plus d’information. La page d’accueil sur aaronsw.com devra être modifiée avec un lien vers l’ancienne page.

Tombe Je voudrais reposer dans un endroit qui ne me tuera pas. Ce qui veut dire avoir un accès à de l’oxygène (bien qu’un accès direct serait probablement une mauvaise chose), et ne pas avoir à traverser 6 pieds de saleté.

Pour le reste, envoyez un e-mail à Sean. Je suis certain qu’il fera quelque chose de raisonnable.

Si quelque chose m’arrive, merci de mettre à jour le pied de page de cette note avec un lien. Envoyez également un e-mail aux listes concernées et mettez en place une réponse automatique pour mon adresse e-mail afin d’informer les personnes qui m’écrivent. N’hésitez pas à publier les choses que les gens disent à mon propos sur le site. Tout ceci est probablement évident, et je suis certain que vous vous en sortirez.

Oh, et au fait, vous me manquerez tous.

Crédit photo : Doc Searls (Creative Commons By)




Geektionnerd : Firefox 16

It’s not a bug, it’s a feature 😛

Geektionnerd - Simon Gee Giraudot - CC by-sa

Geektionnerd - Simon Gee Giraudot - CC by-sa

Source : Firefox 16 : diffusion interrompue à cause d’une faille de sécurité (Tasse de Café)

Crédit : Simon Gee Giraudot (Creative Commons By-Sa)




L’iPhone et l’enfant de 13 ans travaillant 16h par jour pour 0,70 dollars de l’heure

Il est possible qu’un enfant chinois de 13 ans, travaillant 16h par jour pour 0,70 dollars de l’heure, se cache dans votre magnifique iPhone ou iPad. Et quand bien même nous ne soyons pas de ce cas extrême, les conditions sociales de tous ceux qui les produisent loin de chez nous demeurent épouvantables à nos yeux[1].

Ainsi va le monde d’aujourd’hui. Apple n’est qu’un exemple parmi tant d’autres mais il en est un bien triste symbole.

Aaron Shumaker - CC by-nd

Votre iPhone a été fabriqué, en partie, par des enfants de 13 ans travaillant 16 heures par jour pour 0,70 dollars de l’heure

Your iPhone Was Built, In Part, By 13 Year-Olds Working 16 Hours A Day For 70 Cents An Hour

Henry Blodget – 15 janvier 2012 – BusinessInsider.com
(Traduction Framalang/Twitter : HgO, goofy, Maïeul, Mogmi, oli44, Gatitac, popcode, Spartition, MaxLath, kadmelia)

Nous aimons nos iPhones et nos iPads.

Nous apprécions les prix de nos iPhones et iPads.

Nous sommes admiratifs des marges de profit très élevées d’Apple, Inc., le créateur de nos iPhones et iPads.

Et c’est pourquoi il est déconcertant de se rappeler que les bas prix de nos iPhones et iPads — ainsi que les marges de profits très élevées d’Apple — sont possibles parce qu’ils sont fabriqués dans des conditions de travail qui seraient jugées illégales aux États-Unis.

Et il est aussi déconcertant de remarquer que les gens qui fabriquent nos iPhones et iPads non seulement n’en possèdent pas (parce ce qu’ils n’en ont pas les moyens), mais, dans certains cas, qu’ils ne les ont même jamais vus.

C’est un problème complexe. Mais c’est aussi un problème important. Et cela va devenir de plus en plus préoccupant à mesure que les économies mondiales continuent à être de plus en plus interconnectées.

(C’est un problème qui concerne beaucoup de multinationales, et pas seulement Apple. La plupart des fabricants de produits éléctroniques font leurs business en Chine. Cependant, une des spécificités d’Apple, c’est l’importance de ses marges. Apple pourrait augmenter le salaire de ses employés ou leur garantir de meilleures conditions de travail tout en conservant son extrême compétitivité ainsi que sa rentabilité.)

La semaine dernière, l’émission radiophonique américaine This American Life a proposé une édition spéciale sur les industries Apple. L’émission a diffusé (entre autres) le reportage de Mike Daisey, l’homme à l’origine du one-man-show « L’extase et l’agonie de Steve Jobs », avec Nicholas Kristof, dont l’épouse est issue d’une famille chinoise.

Vous pouvez lire ici une retranscription de l’ensemble. Voici quelques détails :

  • La ville chinoise de Shenzhen est située là où la plupart de nos « merdes » sont fabriquées. Il y a 30 ans, Shenzhen était un petit village sur une rivière. Maintenant, c’est une cité de 13 millions de d’habitants — plus grande que New York.
  • Foxconn, l’une des sociétés qui fabriquent les iPhones et les iPads (et aussi des produits pour un certain nombre d’autres entreprises d’électronique), possède une usine à Shenzhen qui emploie 430 000 personnes.
  • Il y a 20 caféterias à l’usine Foxconn Shenzen. Elle servent chacune 10 000 personnes.
  • Mike Daisey a interviewé une employée, à l’extérieur de l’usine gardée par des hommes armés, une jeune fille âgée de 13 ans. Chaque jour, elle lustrait des milliers d’écrans du nouvel iPhone.
  • La petite de 13 ans a expliqué que Foxconn ne vérifiait pas vraiment l’âge. Il y a parfois des inspections, mais Foxconn est toujours au courant. Avant que les inspecteurs n’arrivent, Foxconn remplace les employés qui semblent trop jeunes par des plus âgés.
  • Durant les deux premières heures devant les portes de l’usine, Daisey a rencontré des travailleurs qui lui ont dit qu’ils avaient 14, 13 et 12 ans (en plus de ceux qui étaient plus âgés). Daisey estime qu’environ 5% des travailleurs avec lesquels il a discuté étaient en-dessous de l’âge minimum.
  • Daisey suppose que Apple, obsédée comme elle l’est des détails, doit le savoir. Ou, s’ils ne le savent pas, c’est parce qu’ils ne veulent pas le savoir.
  • Daisey a visité d’autres usines de Shenzhen, se faisant passer pour un acheteur potentiel. Il a découvert que la plupart des étages des usines sont de vastes salles comprenant chacune entre 20 000 et 30 000 travailleurs. Les pièces sont silencieuses : il n’y a aucune machine-outil, et les discussions ne sont pas autorisées. Quand la main d’œuvre coûte si peu cher, il n’y a aucune raison de fabriquer autrement que manuellement.
  • Une « heure » chinoise de travail dure effectivement 60 minutes — contrairement à une « heure » américaine, qui en général comprend les pauses pour Facebook, les toilettes, un appel téléphonique et quelques conversations. Le temps de travail journalier officiel est de 8 heures en Chine, mais la rotation standard des équipes de travail est de 12 heures. En général, la rotation s’étend jusqu’à 14-16 heures, en particulier lorsqu’il y a un nouveau gadget à fabriquer. Pendant que Daisey était à Shenzhen, un ouvrier de Foxconn est mort en travaillant 34 heures d’affilée.
  • Les chaînes d’assemblage ne peuvent pas aller à un rythme supérieur à celui de l’ouvrier le plus lent, les ouvriers sont par conséquent observés (à l’aide de caméras). La plupart travaillent debout.
  • Les ouvriers résident dans des dortoirs. Dans un cube de béton de 12 mètre de côté qui leur sert de chambre, Daisey compte 15 lits, empilés comme des tiroirs jusqu’au plafond. Un Américain de taille moyenne n’y tiendrait pas.
  • Les syndicats sont interdits en Chine. Quiconque est surpris à monter un syndicat est envoyé en prison.
  • Daisey a interviewé des douzaines d’anciens ouvriers qui soutiennent secrètement un syndicat. Un groupe raconte avoir utilisé de l’« hexane », un nettoyeur d’écran d’iPhone. L’ hexane s’évapore plus rapidement que les autres nettoyeurs d’écran, ce qui permet à la chaîne de production d’aller plus vite. L’hexane est également un neurotoxique. Les mains de l’ouvrier qui lui en a parlé tremblaient de manière incontrôlée.
  • Certains ouvriers ne peuvent plus travailler, leurs mains ayant été détruites par ces mêmes gestes répétés des centaines de milliers de fois durant de nombreuses années (syndrome du canal carpien). Cela aurait pu être évité si les ouvriers avaient simplement changé de poste. Dès que les mains des ouvriers ne fonctionnent plus, ils sont évidemment jetés.
  • Une ancienne ouvrière a demandé à son entreprise de payer les heures supplémentaires, et lorsque la société a refusé, elle est allée au comité d’entreprise. Celui-ci l’a inscrite sur une liste noire qui a circulé parmi toutes les entreprises de la région. Les travailleurs sur une liste noire sont fichés comme « fauteurs de troubles / agitateurs » et les compagnies ne les embauchent pas.
  • Un homme s’est fait écraser la main par une presse à métal chez Foxconn. Foxconn ne lui a dispensé aucun soin médical. Quand sa main a été guérie, il ne pouvait plus travailler et a donc été renvoyé. (Heureusement, l’homme fut capable de trouver un nouveau travail dans une entreprise de menuiserie. Les horaires y sont bien meilleurs dit-il, seulement 70 heures par semaine).
  • Cet homme fabriquait d’ailleurs les coques en métal d’iPads chez Foxconn. Daisey lui montra son iPad. Il n’en avait jamais vu auparavant. Il le prit et joua avec. Il raconta trouver cela « magique ».

Il convient cependant de rappeler que les usines du Shenzhen, aussi infernales soient-elles, ont été une bénédiction pour le peuple chinois. C’est ce que dit l’économiste libéral Paul Krugman. C’est ce que dit Nicholas Kristof, chroniqueur au New York Times. Les ancêtres de la femme de Kristof sont originaires d’un village proche de Shenzhen. Il sait donc de quoi il parle. Pour Kristof, les « malheurs » de l’usine valent toujours mieux que les « malheurs » des rizières.

Donc, de ce point de vue, Apple aide à transférer de l’argent de riches consommateurs américains et européens vers des pauvres travailleurs de Chine. Sans Foxconn et les autres usines d’assemblage, les travailleurs chinois seraient encore en train de travailler dans des rizières, gagnant 50$ par mois au lieu de 250. (C’est l’estimation de Kristof. En 2010, selon Reuters, les employés de Foxconn ont obtenu une augmentation totalisant 298$ par mois, soit 10$ par jour, soit moins d’un dollar par heure.) Avec cet argent, ils s’en sortent bien mieux qu’autrefois. En particulier les femmes, qui ont peu d’autres possibilités.

Mais, bien sûr, la raison pour laquelle Apple assemble ses iPhones et ses iPads en Chine au lieu des États-Unis, c’est que l’assemblage ici ou en Europe coûterait cher, bien plus cher – même compte-tenu des frais d’expédition et de transport. Et cela coûterait beaucoup, beaucoup plus parce qu’aux États-Unis et en Europe, nous avons établi des conditions de travail et de salaire minimales acceptables pour les travailleurs.

Foxconn, inutile de le préciser, n’essaye absolument pas de tendre vers ces conditions minimales.

Si Apple avait décidé de fabriquer les iPhones et les iPads pour les Américains en utilisant les conditions de travail américaines, deux choses pourraient arriver :

  • Le prix des iPhones et des iPads augmenterait
  • Les marges de profit d’Apple diminueraient

Aucun de ces éléments ne serait bénéfique à un consommateur américain ou à un actionnaire d’Apple. Mais ils pourraient ne pas être si terribles que ça non plus. Contrairement à certains fabricants d’électronique, les marges de profit sont si élevées qu’elles pourraient beaucoup baisser et rester tout de même élevées. Et certains utilisateurs américains auraient probablement meilleure conscience si on leur disait que ces produits ont été construits dans les conditions de travail de leur propre pays.

En d’autres termes, Apple pourrait certainement se permettre de respecter des conditions de travail américaines pour fabriquer ses iPhones et iPads, sans pour autant détruire son modèle économique.

On peut alors raisonnablement se demander pourquoi Apple a choisi ici de ne PAS faire ainsi.

(Ce n’est pas qu’Apple soit la seule entreprise qui ait choisi de contourner la législation du travail et les coûts de la main d’œuvre américaine, bien sûr – presque toutes les entreprises industrielles qui veulent survivre, ou tout simplement se développer, doivent abaisser les normes et leurs coûts de productions en faisant fabriquer leurs produits ailleurs.)

Au final les iPhones et les iPads coûtent ce qu’ils coûtent parce qu’ils sont fabriqués selon des conditions de travail qui seraient illégales dans notre pays – parce que les gens de notre pays considèrent ces pratiques comme scandaleusement abusives.

Ce n’est pas un jugement de valeur. C’est un fait.

La prochaine fois que vous vous saisirez de votre iPhone ou de votre iPad, pensez un peu à tout cela.

Notes

[1] Crédit photo : Aaron Shumaker (Creative Commons By-Nd)




Un vidéo-clip réalisé avec 4 816 photos sous licence Creative Commons By-Sa

« You Came Out » est le dernier single du groupe electro We Have Band.

Le joli clip de cette chanson a été réalisé en stop motion, succession d’images fixes légèrement déplacées les unes des autres pour donner l’impression d’un mouvement saccadé caractéristique.

Pour que le procédé fonctionne bien, il convient de proposer beaucoup de photographies par unité de temps. Ici on a donc un clip de trois minutes pour exactement… 4 816 photographies.

Elles ont toutes été regroupées sur un compte Flickr dédié et ont été placée, riche idée, sous licence Creative Commons By-Sa.

Ce qui donne d’un coup près de cinq milles photos qui viennent enrichir la culture libre 😉

—> La vidéo au format webm

Cette vidéo a été réalisée par David Wilson, en collaboration avec Fabian Berglund et Ida Gronblom (de l’agence Wieden + Kennedy), et produite par Blinkink. Un intéressant making-of du clip est également disponible.




Largage de liens en vrac #16

Pitel - CC by-saNouvelle fournée des liens en vrac autour des (supposées ou avérées) nouveautés logicielles. Si il fallait lui donner une note, je dirais… 16/20.

J’en profite pour lancer un appel à participation parce qu’à Framasoft nous croulons sous le boulot en ce moment.

Y aurait-il de gentils volontaires prêts à maintenir avec moi cette rubrique des Liens en vrac ? Et pourquoi pas aussi pousser la chose plus loin, en effectuant un véritable test lorsque le logiciel semble vraiment intéressant ? Test qui pourrait faire l’objet d’un billet à part entière ici.

Pour le dire autrement, un peu comme sur Facebook, je veux me faire des amis pour ne plus être seul[1] avec cette rubrique qui je sais rend service mais qui prend pas mal de temps à rédiger à chaque fois.

Si vous voulez « être mon ami », il suffit de m’envoyer un message via notre formulaire.

Et c’est parti, mon kiki…

  • SRWare Iron : Justement, à propos de Chrome, la principale raison de ne pas y passer c’est… Google. Voici donc la tentative allemande d’un Chrome sans Google (à partir des sources de Chromium, la version libre de Chrome, je sais c’est compliqué). Toutes les qualités de Chrome moins les problèmes de privacy ?
  • The Open Video Player Initiative : « The Open Video Player Initiative is a community project dedicated to sharing player code and best practices around video player development and monetization. » Pas besoin de traduire non ? Il y a Adobe et Microsoft dans les partners. Doit-on alors se méfier ?
  • Dogma Player : Codé en Flex, un player musical (encore en bêta) pour avoir accès à tout le catalogue Dogmazic.
  • Pixie : Un site web permettant de créer des sites web ! Intituitif et sexy.
  • Papillon : Outil en ligne de réservation de ressource et d’affichage de disponibilité. Un Doodle libre à surveiller de près.
  • Open Font Library : Une sorte de forge spécialement dédiée aux polices de caractères très bien présentée. Piochez mais aussi créez et partagez vos polices libres et ouvertes ! (Mozilla est impliquée dans le projet)
  • LMMS : Acronyme de Linux Multi Media Studio. Sorte d’alternative libre à Cubase (mais à vérifier, je suis pas très calé en création musicale). On pourra lire ce tutoriel sur Linux MAO.
  • Sockso Personal Music Server : Hadopi appréciera moyennement cet outil pour se créer sur son ordi son petit serveur musical que l’on peut partager avec ses amis sur le Net (Java inside)
  • UltraStar Deluxe : Un logiciel de karaoke libre inspiré de Singstar (Playstation).
  • Thematic : Pour que le webmaster blogueur en herbe se fasse un WordPress aux petits oignons.
  • AlbanEye : Un JavaScript qui déroule un coin de page terrifiant sur l’œil de Moscou Christine Albanel. Peut resservir pour d’autres occasions.
  • Monkey Smileys : Des smileys mais sous forme de tête de singe, par notre ami Poupoul2.
  • Circos : Pour visualiser le génome mais par extension toutes sortes de données, le tout dans un cercle dont les points sont liés par des courbes de couleurs. Un truc un peu mutant mais très très joli (si quelqu’un veut nous en dire plus dans les commentaires…).
  • ICEpdf : Ce lecteur de PDF en Java vient de passer Open Source.
  • jsPDF : Pour générer du PDF uniquement en JavaScript (et donc à partir de votre navigateur si vous le souhaitez).
  • Flot : Utilise toujours l’excellente bibliothèque JavaScript jQuery pour faire de bien jolis graphiques.
  • FullCalendar : Encore avec jQuery, j’ai relevé ce calendrier à mettre sur son site web.
  • jCart : Et pour en finir avec jQuery, la petite boutique de vente en ligne avec panier et tout et tout (intègre Paypal).
  • Cinecode : Si j’ai bien compris un encodeur permettant de convertir d’un simple glisser/déposer n’importe quel fichier vidéo (ou presque) en Flash (.flv).
  • Appetizer : Un esthétique lanceur d’applications (ou dock) pour Windows. Existe en version portable.
  • Open Paint : Qui n’a pas connu le logiciel Paint de Windows ? (à l’école, les élèves continuent de l’utiliser dès qu’on a le dos tourné). On tient ici une tentative de clonage Open Source de Paint déjà bien aboutie.
  • Miro Adoption : Miro propose ses lignes de code à l’adoption. Une manière originale de lancer une campagne de dons.
  • Le Wecena ? : Je le signale car j’ai trouvé le mot intéressant (contraction si j’ai bien compris de web et mécénat). « Le wecena met au service de projets d’intérêt général la créativité et le savoir-faire technologiques des meilleurs ingénieurs et informaticiens de la profession. Le wecena, c’est le mécénat de compétences en informatique. »
  • TaskJuggler : Un logiciel de gestion de projet (vous n’en saurez pas plus !)
  • Web Optimizer : Ensemble d’applications permettant de réduire le temps de chargement de vos pages web.
  • Ulteo Virtual Desktop : Philippe Scoffoni nous annonce la sortie en version 1.0 de la solution de bureau virtuel Ulteo Virtual Desktop (je n’arrive pas à comprendre si le projet Ulteo, de Gaël Duval, ex-fondateur de Mandrake, est un espoir ou une déception, vous avez un avis ?).

Notes

[1] Crédit photo : Pitel (Creative Commons By-Sa)




PeerTube v7 : offrez un nouveau look à votre plateforme vidéo !

Dotée d’un tout nouveau design, la nouvelle interface de PeerTube n’est pas uniquement plus esthétique. Elle est aussi plus simple, plus facile à utiliser et à comprendre, et plus accessible. C’est une nouvelle ère pour ce logiciel qui permet aux vidéastes d’avoir leurs propres plateformes de vidéo, de les modérer et de les connecter entre elles.

🎈 Framasoft a 20 ans🎈 : Contribuez pour financer une 21e année !

Grâce à vos dons (défiscalisables à 66 %), l’association Framasoft agit depuis 20 ans pour faire avancer le Web éthique et convivial. Retrouvez un focus sur certaines de nos actions en 2024 sur le site Soutenir Framasoft.

➡️ Lire la série d’articles de cette campagne (nov. – déc. 2024)

Avancées rapides de l’écosystème PeerTube

Il y a sept ans, PeerTube était principalement un outil connu uniquement des passionnés de logiciels libres à la pointe de la technologie. Il est ensuite devenu plus populaire parmi les créatrices et créateurs de contenus qui voulaient auto-héberger un miroir de leurs chaînes YouTube/Twitch et parmi les communautés qui voulaient créer et modérer un espace inclusif (personnes sourdes, personnes queers, etc.).

Aujourd’hui, PeerTube connaît un succès croissant auprès de vidéastes qui publient du contenu original (ou du contenu réservé à leur communauté), de médias alternatifs et de diverses institutions : universités, ministère de l’éducation, archives de la télévision et des radios nationales, etc.

Les structures publiques ont souvent besoin de partager des contenus vidéo sans avoir recours à des mécanismes qui attirent l’attention ou qui exploitent les données.

illustration with the PeerTube mascot and the motto "building a free internet of the future"
Découvrez l’histoire et les valeurs de PeerTube grâce à cette interview de l’Association pour la communication progressive (en anglais).

Pour nous, il s’agit d’une nouvelle avancée dans l’évolution de l’audience de PeerTube.

Cette année, nous avons donc demandé à La Coopérative des Internets de mener une étude UX approfondie (avec entretiens, tests, etc.) et de nous aider à entamer une refonte complète du design. Notre objectif était d’améliorer PeerTube pour qu’il réponde au mieux aux besoins de ces nouveaux publics. Nous leur avons clairement donné carte blanche pour tout remettre en question : les couleurs, le vocabulaire, la mise en page…

Nous sommes fiers de vous présenter cette v7 de PeerTube, qui pose les bases d’une refonte complète du logiciel et de son design.

Voir le code source Soutenir Framasoft

Petit aperçu : des thèmes, des nouvelles couleurs et du vocabulaire

Le design de PeerTube, ses couleurs, son vocabulaire… Tout s’est construit au cours des sept dernières années, au fur et à mesure de notre apprentissage sur le tas et de l’aide apportée par la communauté. Ce nouveau design a été l’occasion de prendre un peu de recul et de donner un sens, des intentions à l’interface.

Image de l'interface light beige de PeerTube

Le nouveau thème par défaut, beige clair, est plus chaleureux et plus agréable à l’œil que le thème original, noir et orange. Un thème brun est aussi disponible, pour qui préfère les affichages sombres. Ces deux thèmes ont pour but de faciliter la navigation dans les vidéos.

La création de ces nouveaux thèmes a été l’occasion de nettoyer et de simplifier le code de l’interface (en particulier : nettoyer les CSS, en se concentrant sur les variables), tout en limitant les ruptures avec les thèmes personnalisés préexistants. Il est maintenant beaucoup plus facile de créer de nouveaux thèmes pour PeerTube. Nous espérons d’ailleurs que vous nous partagerez vos réalisations !

Image de l'interface dark marron de PeerTube

Le glossaire de PeerTube a également été mis à jour. Ce n’est pas pour rien que nous utilisons désormais le terme « plateforme(s) » pour parler de tous les serveurs sur lesquels PeerTube a été installé. Les appeler « instance(s) » est la norme dans le monde technique des enthousiastes d’activity-pub. Mais pour celles et ceux qui n’ont pas le privilège de connaître le Fediverse et son protocole, le mot plateforme est plus explicite, et facilite l’inclusion.

Site PeerTube Soutenir Framasoft

Une mise en page plus simple et plus pertinente

Il y a beaucoup d’informations à afficher sur une page PeerTube. Les présentations et les menus se sont développés au fil du temps durant sept années de développement… et avaient bien besoin d’être révisés ! Ces nouveaux menus et pages ont été complètement retravaillées pour mettre en avant les informations importantes et permettre de trouver plus facilement le contenu que l’on recherche.

Image de l'interface de PeerTube en utilisateur anonyme

Par exemple, les créateurs et créatrices de contenus accédaient à leurs chaînes et aux vidéos téléchargées dans leur bibliothèque (où tout utilisateur de PeerTube peut accéder aux listes de lecture, à l’historique, etc. des vidéos visionnées). Désormais, dans PeerTube v7, il existe une nouvelle section appelée « Espace vidéo » spécifique aux besoins des créateurs de contenus.

De la même manière, les pages « Admin » pour qui administre leur propre plateforme PeerTube ont été séparées en une page « Aperçu » (pour obtenir plus d’informations sur les utilisateurs, les vidéos hébergées, etc.), une page « Modération » (pour gérer les abus, les blocages et les inscriptions), et une page « Paramètres » (pour accéder à la configuration, les runners, etc.).

Image de la partie admin de PeerTube

Les différentes pages qui affichaient les vidéos d’une plateforme PeerTube (Récemment ajoutées, Vidéos locales, Tendances) ont été fusionnées en une page « Parcourir les vidéos », qui inclut des options de filtres rapides pour afficher les mêmes sélections de contenus d’une manière plus directe.

La nouvelle disposition de la page « Découvrir des vidéos » a été conçue dans le même esprit. Nous espérons qu’elle satisfera même les utilisateurs les plus curieux.

Enfin, la barre de gauche et les menus de l’en-tête ont été réorganisés afin d’illustrer ces changements et rendre la navigation encore plus intuitive. Vous pouvez désormais accéder aux paramètres de votre compte et aux notifications à partir du menu d’en-tête, coutume courante sur d’autres sites web.

Moteur de recherche PeerTube Soutenir Framasoft

Afficher simplement la diversité des vidéos

L’un des principaux retours de personnes découvrant PeerTube était que l’ancienne interface était confuse, qu’il était difficile pour une utilisatrice de savoir où il se trouvait et d’où provenaient les vidéos.

C’est pourquoi, dans PeerTube v7, nous avons ajouté plus de moyens pour les propriétaires de plateformes de personnaliser et d’identifier leurs plateformes : ajouter facilement une bannière (utilisée sur les pages, l’exploration de l’application mobile, et notre moteur de recherche SepiaSearch) et une icône de plateforme (utilisée par l’application mobile). De plus, le nom et la description de leur plateforme sont maintenant affichés pour les utilisateurs non-enregistrés dans le menu de gauche.

Capture d'écran des résultats de recherche de la plateforme sur JoinPeerTube
Les bannières des plateformes apparaissent positivement dans les résultats de recherche (ici sur joinpeertube.org)

La manière dont les miniatures vidéo apparaissent a également été modifiée dans toutes les pages qui listent des vidéos. Les avatars des chaînes sont mis en avant afin de faciliter l’identification des créateurs, les titres sont mis en évidence, la date et le nombre de vues de la vidéo sont présents mais atténués. Ces changements rendent les pages qui répertorient les vidéos plus lisibles et simplifient l’identification de la vidéo que vous souhaitez regarder.

Application mobile PeerTube Soutenir Framasoft

L’accessibilité mise à l’honneur

La refonte nous a également permis de donner la priorité à l’accessibilité de l’interface (pour les personnes handicapées). En 2023, nous avions préparé le code et avancé à l’aide de nos connaissances… pour que l’audit complet d’accessibilité prévu en 2024 (grâce au consortium NGI Entrust) apporte autant d’améliorations nouvelles et détaillées que possible.

Grâce à l’audit, de nombreux points ont pu être améliorés : les contrastes de couleurs et les thèmes, la barre de progression, plusieurs composants et divers problèmes liés aux lecteurs d’écran ont été corrigés. Les labels manquants sur les éléments interactifs ainsi que des liens « passer le menu » ont été ajoutés, les liens sont soulignés. La navigation au clavier a été perfectionnée et les composants d’une dépendance non accessible ont pu être réimplémentés.

capture d'écran de la page vidéo vrowse sur peertube v7
Saviez-vous que l’ancien orange utilisé pour PeerTube n’était pas assez contrasté pour être accessible ?

Nous pensons sincèrement que PeerTube a rattrapé son retard en matière d’accessibilité et devrait maintenant être conforme aux normes… mais nous savons aussi qu’il est toujours possible de s’améliorer et d’apprendre directement des personnes concernées.

Suivre PeerTube sur Mastodon Soutenir Framasoft

Édition de sous-titres, promotion des vidéos et plus encore…

Grâce au nouvel outil de transcription introduit l’année dernière, il est désormais très simple d’obtenir une transcription ou des sous-titres pour votre vidéo. Mais l’outil d’édition des transcriptions/sous-titres était… hum… disons sommaire. Une nouvelle fenêtre modale a été introduite, pour rendre l’édition des sous-titres beaucoup plus aisée.

Image montrant l'interface pour modifier les sous-titres dans PeerTube

Nous avons accueilli et intégré en amont une contribution de la communauté sur le SEO (optimisation pour les moteurs de recherche), pour aider à promouvoir le contenu hébergé sur PeerTube dans les moteurs de recherche. Un avatar de la plateforme apparaît désormais dans les balises opengraph, les comptes et canaux vides sont masqués dans le plan du site, tandis que des balises vidéo supplémentaires y sont désormais présentes.

Enfin, PeerTube a été traduit en slovaque.

Nous voulons vraiment prendre le temps de remercier la communauté qui contribue aux traductions de PeerTube, jamais nous n’aurions pensé que notre logiciel serait un jour disponible dans plus de 38 langues.

Un grand merci à vous tous, personnes merveilleuses, qui avez pris le temps et le soin de contribuer à notre outil de traduction : vous êtes incroyables !

sepia, mascotte de peertube, entretenant son jardin
Faire la chasse aux bugs et cultiver le jardin Commun… une allégorie de la communauté PeerTube.
Illustration de David Revoy (CC-By)

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Plus d’améliorations à venir…

D’autres chantiers sont prévus dans le cadre de cette refonte de l’interface. Nous espérons les livrer dans les premiers mois de 2025. Tout d’abord, la traduction du rapport de recherche UX de La Coopérative des Internets est en voie d’être terminée. Nous le publierons dans l’espoir qu’il aidera l’ensemble de la communauté du Fediverse.

Une fois que les administratrices de PeerTube auront le temps de faire la mise à jour de leurs plateformes, nous mettrons à jour la documentation de PeerTube avec de nouvelles captures d’écran, et les chemins des nouveaux menus.

Les prochaines évolutions seront dédiées à la simplification de la gestion des chaînes et des vidéos pour les créateurs de contenus (où plusieurs outils et menus ont été ajoutés au fil des ans). La catégorisation des vidéos NSFW devrait également être affinée.

Illustration - Dans la mer Sepia, læ poulpe mascotte de PeerTube, dessine un grand chiffre sept avec son encre.
Illustration: David Revoy – Licence : CC-By 4.0

Évidemment, beaucoup d’autres projets sont prévus pour notre feuille de route 2025, mais nous attendons de voir si nous allons obtenir des fonds pour les réaliser : nous vous tiendrons informées dès que nous en saurons plus !

En ce qui concerne les fonds, nous tenons à remercier le programme Entrust du NGI0 pour sa subvention qui a permis de financer la majeure partie du travail sur cette nouvelle version (et sur l’application mobile PeerTube que nous avons lancée la semaine dernière). L’équipe NLnet a été un excellent partenaire dans la gestion de cette subvention, et l’audit d’accessibilité du consortium a vraiment fait une énorme différence.

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Le défi : 20 000 fois 20 € de dons pour les 20 ans de Framasoft !

Même si ces nouveaux développements ont pu être financés, la maintenance de PeerTube, le support (gratuit), l’intégration des contributions, etc. se font sur nos propres ressources. Et Framasoft n’est pas une grande entreprise de la tech : nous sommes une association à but non lucratif qui milite pour l’émancipation numérique.

Or Framasoft est financée par vos dons ! Chaque tranche de 20 euros de dons sera un nouveau ballon pour célébrer 20 années d’aventures et nous aider à continuer et décoller une 21e année.

Framasoft, c’est un modèle solidaire :

  • 8000 donatrices en 2023 ;
  • plus de 2 millions de bénéficiaires chaque mois ;
  • votre don (défiscalisable à 66 %) peut bénéficier à 249 autres personnes.

Jauge de dons de Framasoft au 17 décembre 2024, à 110619 €

À ce jour, nous avons collecté 110 619 € sur notre objectif de campagne. Il nous reste 14 jours pour convaincre les copaines et récolter de quoi faire décoller Framasoft.

Alors : défi relevé ?

🎈 Je soutiens la 21e année de Framasoft 🎈




PeerTube mobile app : discover videos while caring for your attention

Today, at Framasoft (bonjour!), we publish the very first version of the PeerTube Mobile app for android and iOS. A lot of care went into its conception, to help a wider audience watch videos and discover platforms, while not getting their attention (and data) exploited.

🎈Framasoft is 20 years old🎈 : Contribute to finance a 21st year!

Thanks to your donations (66% tax-free), the Framasoft association has been working for 20 years to advance the ethical and user-friendly Web. Find out more about some of our actions in 2024 on the Support Framasoftwebsite .

➡️ Read the series of articles from this campaign (FR – Nov. – Dec. 2024)

Another step into PeerTube growth

Even though we have been developing and maintaining the PeerTube software for 7 years, we, at Framasoft, are far from being an IT company. First because we are a not-for-profit (funded through donations, you can support us here), and then because our goal is, actually, to help others educate themselves on digital issues, surveillance capitalism, etc. and to give them tools that helps them get digitally emancipated.

Developing PeerTube has been, to us, an (happy) accident. We wanted to show that with one paid developer (for the first six years, then two), very little means (~ €650,000 over 7 years) and lots of community contributions, we can create a radical alternative to YouTube and Twitch. It also took a lot of patience. From the get go, we knew we needed to aim for a slow but steady pace of growth for the software, the network of video platforms it federates, the whole ecosystem and the audiences it reached.

Videos and live-streams are increasingly watched on mobile devices. We knew the next step to widen the audience of the PeerTube network of platforms was to develop a mobile client. Last year, we decided to hire Wicklow (who completed his last internship, before graduating, here with us), to train him on mobile technologies, develop a mobile app, while continuing to get familiar with PeerTube’s core code.

Support PeerTube & Framasoft

Getting funded and getting help

This was (and still is) a big decision: a new hire needs to be funded (our huge thanks to NLnet and the NGI0 Entrust program!), and we want to stay a small structure, so we don’t have lots of room in our team. In hindsight, though, we believe it was the right one.

We surrounded ourselves with Zenika, to get help on architecture and experience on mobile strategy. We soon realized that peer-to-peer video sharing wouldn’t be a wise strategy on mobile devices. After benchmarking different technologies, Wicklow picked Flutter for the development.

La Coopérative des Internets (French design workers-owed-company), helped us pinpoint the relevant user experience and design an app fit for videos on the fediverse. We decided, for the first release, to limit the scope of the app to the « spectator use-case »: browsing and watching videos.

We plan to share all their reports soon (early 2025), as soon as we put in the final touches. We hope that sharing this expertise and experience will help other FLOSS initiatives in their endeavor.

In the meanwhile, the PeerTube Mobile app is (as always with us) Free-libre and open-source, and you can find the source code here on our repository.

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🎈🎈 Celebrate Framasoft’s 20th birthday 🎈🎈

Fediverse complexities made simple

This preparatory work helped us realize that a mobile client was an amazing opportunity to simplify the PeerTube experience. PeerTube is not a video platform: it’s a network of video platforms, each with their own rules, means and focus, that can choose to federate with others (or not).

It is, by design, more complex than a centralized platform. One of the main feedback we got from video enthusiasts was

« I don’t know where to get an account. I don’t know where to search & find videos » (even though we maintain SepiaSearch).

Screenshot of SepiaSearch.org, our PeerTube Search Engine

Local account

Within a mobile client, we can create some kind of local account, directly on your device, so you get your watch-list, playlists, faves, etc. It saves you the hassle of finding a platform where you’d need to create an account if you just want to enjoy video content.

Image "Watch later" PeerTube app

Explore platforms

We can also include a search engine and an interface to explore the federation of PeerTube platforms and find videos suited to your interest. Not everyone knows SepiaSearch (and other fediverse search engines) exists: you get it from the get go, in your pocket.

Highlighting platforms’ diversity

Finally, we can present content in a way that highlights the platforms, and show you where the videos/channels you watch are hosted. Differentiating platforms is a practical, visual way of introducing the concept of federation to a wider audience.

Image PeerTube app "explore platforms"

Fund Framasoft’s work

Designing out dark patterns

Humility check: a small French nonprofit will never have Google’s workforce nor Amazon’s money (and vice versa). But we have an edge: we are not constrained by surveillance capitalism rules, and its captology models.

Neither PeerTube nor the mobile app have any interest into grabbing your attention, force-feeding you ads and milking behavioral and personal data from you.

That is how we freed the design from toxic design patterns such as doom scrolling, curated feeds, needy notifications and so on.

It might sound obvious, but it takes real effort to conceive an interface cleaned from what has unfortunately became the new normal. Even more if you need to keep it familiar enough so it says easy to use.

Image "show more" PeerTube app

A very first build, limited by (play & i) stores

We knew beforehand that fitting into Google’s PlayStore and Apple AppStore would be a challenge. They clearly weren’t ready to host a client for (not-a-platform but) a network of autonomous video-sharing platforms, published by a small French nonprofit, funded through its independent donation website.

We knew about the issues encountered by Thorium (another PeerTube mobile client). We got help and advice from Gabe, who develops the streaming tool Owncast (may your keyboard always repel crumbs and click smoothly), and encountered many obstacles… We knew about all that but, oh my Tux, it was a wild ride.

After jumping though hoops, here we are, you can download the PeerTube mobile app here:

Download on F-Droid, alternative store for Android AppStoreSoon Download on Google Play Store Download on Apple AppStore

🔗Download the latest apk🔗 ((Android/Advanced)

🎈 Contribute to Framasoft’s Future 🎈

(un-)Limiting the federation

To get through Apple’s (and, in a lesser way, Google’s) validation processes, we had to present the mobile app with a curated « allowlist » of PeerTube platforms that meet their standards.

Here is the state of those limitations right now:

  • Apple AppStore: limited to a very strict allowlist. Truth be told, a week before release, we are still unsure of being validated. Once we manage it, we’ll see how to widen the list & let users add platforms they want ;
  • Google Play Store: limited allowlist, but users can already add the platforms they want. We plan to widen the allowlist next ;
  • F-Droid (coming soon) and direct download apk: all PeerTube platforms we have indexed on SepiaSearch are available. If an instance isn’t declared to our index or is moderated, you can add it manually.

Image explore plateforms PeerTube app

Download on F-Droid, alternative store for Android AppStoreSoon Download on Google Play Store Download on Apple AppStore

🔗Download the latest apk🔗 ((Android/Advanced)

We cannot stress enough how their stores are not ready for independent solidarity-oriented networks. For exemple, a small « support us » donation link in our website footer or even on one of the allowed platforms triggered a « nope » from Apple.

And that’s consistent: as seen in their fight with Epic (owners of Fortnite) Apple take their share in every in-app purchases. They have an economic interest to keep your expenses enclosed in their ecosystem. Please, please: consider getting your freedom back ;).

meme "I expected nothing, and yet I was disappointed"

Coming soon, in the PeerTube App

Fitting into Apple’s (and Google’s) very small boxes took time and energy, more than what we expected. We decided to release a first (incomplete) version of the app in December anyway, and gradually improve on it.

Here are the features we plan to develop and share for the PeerTube app:

  • Soon (early 2025)
    • Finalize and publish design and mobile strategy reports
    • Publish documentation
    • Play video in background
    • Log in to one’s account, gets subscriptions, comment videos
    • next video recommandation
    • improve on the limited platforms list situation
  • Then (mid 2025 (if funded))
    • adapt to tablets
    • adapt to TVs (well: AndroidTV… as for AppleTV, it will depend on their limitations)
    • Watch offline (for downloadable content)

Right now, we are still waiting to secure funding for those mid-2025 features (for which we have requested a NGI0 Commons grant to NLnet).

Depending on the app success and usage, we would love to add the content creator usecase to the app. But that’s a big one: upload and publish a video, manage one’s content, create a livestream, etc. We are still wondering where, when and how to get funds for this undertaking.

Illustration - Sepia, læ poulpe mascotte de PeerTube, sort de l'écran d'un téléphone mobile.
Illustration by David Revoy – Licence : CC-By 4.0

Care, Share and Contribute!

This is the part where we need you.

We hope you will enjoy this app, download and use it, and share it with your friends. This is a new gateway to promote PeerTube content, get audience to fabulous content creators, entice them to share more and boost that virtious loop.

This app is also a way of showcasing how media could be presented, when they are made with care for your agency and attention. More than ever: sharing is caring.

Download on F-Droid, alternative store for Android AppStoreSoon Download on Google Play Store Download on Apple AppStore

🔗Download the latest apk🔗 ((Android/Advanced)

You can also contribute by reporting bugs (within the app), helping on the code (here is the git repository), and translating the interface. This is an important one: right now, the App is only available in English and French. Your language contributions are welcomed here on our translation platform.

Obviously, we plan to maintain the app, add translations, implement bugfixes and security updates when needed: but this has a cost. We need to secure Framasoft’s 2025 budget to make Wicklow’s position permanent in our team (which is a priority to us). Our donation campaign is active right now, you can add your support here (and thanks!).

illustration où des animaux mascottes de projets framasoft rassemblent des ballons sur deux piquets au sol. Les ballons prennent la forme d'un 20 géant.
Illustration by David Revoy – Licence : CC-By 4.0

The challenge: 20,000 times €20 donations for Framasoft’s 20th anniversary!

Framasoft is funded by your donations! Every €20 you donate will be a new balloon to celebrate 20 years of adventures and help us continue and take off for a21st year.

Framasoft is a model of solidarity:

  • 8,000 donors in 2023 ;
  • over 2 million beneficiaries every month;
  • your donation can benefit 249 other people.

Framasoft donation bar on 2024 dec. 10th, at 84817€

To date, we have raised €84,817 of our campaign target. We still have 21 days to convince our friends and raise enough money to get Framasoft off the ground.

So, challenge accepted?

Support Framasoft




PeerTube sur mobile : un univers de vidéos qui prend soin de votre attention

Aujourd’hui, chez Framasoft, nous publions la toute première version de l’application PeerTube Mobile pour android et iOS. beaucoup de soin a été apporté à sa conception, afin d’aider un public plus large à regarder des vidéos et découvrir des plateformes, sans exploiter les attentions (ni les données).

🎈 Framasoft a 20 ans🎈 : Contribuez pour financer une 21e année !

Grâce à vos dons (défiscalisables à 66 %), l’association Framasoft agit depuis 20 ans pour faire avancer le Web éthique et convivial. Retrouvez un focus sur certaines de nos actions en 2024 sur le site Soutenir Framasoft.

➡️ Lire la série d’articles de cette campagne (nov. – déc. 2024)

Une nouvelle étape dans la croissance de PeerTube

Bien que nous développions et maintenions le logiciel PeerTube depuis 7 ans, nous, chez Framasoft, sommes loin d’être une entreprise d’informatique. D’abord parce que nous sommes une association à but non lucratif (financée par des dons, vous pouvez nous soutenir ici), et ensuite parce que notre but est, en fait, d’aider les autres à s’éduquer sur les questions numériques, le capitalisme de surveillance, etc. et de leur donner des outils qui les aident à s’émanciper numériquement.

Le développement de PeerTube a été, pour nous, un (heureux) accident. Nous voulions montrer qu’avec un développeur rémunéré (pendant les six premières années, puis deux), très peu de moyens (~ 650 000 € sur 7 ans) et beaucoup de contributions de la communauté, nous pouvons créer une alternative radicale à YouTube et Twitch. Il a également fallu beaucoup de patience. Dès le départ, nous savions que nous devions viser un rythme de croissance lent mais régulier pour le logiciel, le réseau de plateformes vidéo qu’il fédère, l’ensemble de l’écosystème et le public qu’il atteint.

Les vidéos et les flux en direct sont de plus en plus regardés sur des appareils mobiles. Nous savions que la prochaine étape pour élargir l’audience du réseau de plateformes PeerTube était de développer un client mobile. L’année dernière, nous avons décidé d’embaucher Wicklow (qui a effectué son dernier stage chez nous avant d’obtenir son diplôme), pour le former aux technologies mobiles et développer une application mobile, tout en continuant à se familiariser avec le code de base de PeerTube.

Soutenir PeerTube & Framasoft

Obtenir un financement et de l’aide

C’était (et c’est toujours) une décision importante : une nouvelle embauche doit être financée (un grand merci à NLnet et au programme Entrust du NGI0 !), et nous voulons rester une petite structure, donc nous n’avons pas beaucoup de place dans notre équipe. Avec le recul, nous pensons que c’était la bonne décision.

Nous nous sommes entourés de Zenika, pour obtenir de l’aide sur l’architecture et de l’expérience sur la stratégie mobile. Nous nous sommes vite rendu compte que le partage de vidéos en peer-to-peer n’était pas une stratégie judicieuse sur les appareils mobiles. Après avoir comparé différentes technologies, Wicklow a choisi Flutter pour le développement.

La Coopérative des Internets (une scop des designers) nous a aidés à identifier l’expérience utilisateur pertinente et à concevoir une application adaptée aux vidéos sur le fediverse. Nous avons décidé, pour la première version, de limiter le champ d’application de l’app au « cas d’utilisation spectateur » : parcourir et regarder des vidéos.

Nous prévoyons de partager tous les rapport prochainement (début 2025), dès que nous aurons mis les dernières retouches à l’application. Nous espérons que le partage de cette expertise et de cette expérience aidera d’autres initiatives FLOSS dans leurs efforts.

En attendant, l’application PeerTube Mobile est (comme toujours avec nous) libre et open-source, et vous pouvez trouver le code source ici sur notre dépôt.

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🎈🎈 Célébrer les 20 ans de Framasoft 🎈🎈

Simplifier la complexité du Fediverse

Ce travail préparatoire nous a permis de réaliser qu’un client mobile était une formidable opportunité de simplifier l’expérience PeerTube. PeerTube n’est pas une plateforme vidéo : c’est un réseau de plateformes vidéo, chacune avec ses propres règles, moyens et objectifs, qui peuvent choisir de se fédérer avec d’autres (ou non).

Il est, de par sa conception, plus complexe qu’une plateforme centralisée. L’un des principaux commentaires que nous avons reçus de la part des passionnés de vidéo est le suivant

« Je ne sais pas où ouvrir un compte. Je ne sais pas où chercher et trouver des vidéos » (même si nous maintenons SepiaSearch).

Screenshot of SepiaSearch.org, our PeerTube Search Engine

Compte local

Dans un client mobile, nous pouvons créer une sorte de compte local, directement sur votre appareil, afin que vous puissiez accéder à votre liste de visionnage, à vos listes de lecture, à vos favoris, etc. Cela vous évite d’avoir à trouver une plateforme sur laquelle vous devez créer un compte si vous voulez simplement profiter du contenu vidéo.

Image "Watch later" PeerTube app

Explorer les plateformes

Nous pouvons également inclure un moteur de recherche et une interface pour explorer la fédération des plateformes PeerTube et trouver des vidéos adaptées à vos centres d’intérêt. Tout le monde ne connaît pas l’existence de SepiaSearch (et d’autres moteurs de recherche fédérés) : vous l’avez dès le départ, dans votre poche.

Mise en évidence de la diversité des plateformes

Enfin, nous pouvons présenter le contenu d’une manière qui mette en évidence les plateformes et vous montrer où sont hébergées les vidéos/chaînes que vous regardez. La différenciation des plateformes est un moyen pratique et visuel d’introduire le concept de fédération auprès d’un public plus large.

Image PeerTube app "explore platforms"

Financer le travail de Framasoft

Designer pour sortir des dark patterns

Restons humbles : une petite association française n’aura jamais la force de travail de Google ni l’argent d’Amazon (et vice versa). Mais nous avons un avantage : nous ne sommes pas contraints par les règles du capitalisme de surveillance et ses modèles de captologie.

Ni PeerTube ni l’application mobile n’ont intérêt à capter votre attention, à vous gaver de publicités et à vous soutirer des données comportementales et personnelles.

C’est ainsi que nous libérons le design des conceptions toxiques tels que le « doom scrolling », la curation de flux, et les notifications omniprésentes.

Cela peut sembler évident, mais il faut un réel effort pour concevoir une interface débarrassée de ce qui est malheureusement devenu la nouvelle norme. D’autant plus qu’il faut la rendre suffisamment familière pour qu’elle soit facile à utiliser.

Image "voir plus" pour l'application PeerTube.

Une toute première version, limitée par les (play et i) stores

Nous savions à l’avance que l’intégration dans le PlayStore de Google et l’AppStore d’Apple serait un défi. Ils n’étaient manifestement pas prêts à héberger un client pour (non pas une plateforme mais) un réseau de plateformes autonomes de partage de vidéos, édité par une petite association française à but non lucratif, financée par son site web de dons indépendant.

Nous étions au courant des problèmes rencontrés par Thorium (un autre client mobile PeerTube). Nous avons reçu l’aide et les conseils de Gabe, qui développe l’outil de streaming Owncast (que ton clavier repousse les miettes et clique avec douceur), et qui a rencontré de nombreux obstacles … Nous étions au courant de tout cela mais, oh mon Tux, quelle aventure.

Après avoir fait des pieds et des mains, nous y voilà, vous pouvez télécharger l’application mobile PeerTube ici :

Download on F-Droid, alternative store for Android AppStoreBientôt Download on Google Play Store Download on Apple AppStore

🔗Télécharger le fichier apk🔗(Android/Expert)

🎈 Contribuer à l’avenir de Framasoft🎈

(dé)Limiter la fédération

Pour passer les processus de validation d’Apple (et, dans une moindre mesure, de Google), nous avons dû présenter l’application mobile avec une « liste autorisée » de plateformes PeerTube répondant à leurs normes.

Voici l’état de ces limitations à l’heure actuelle :

  • L’AppStore d’Apple : limité à une liste d’autorisation très stricte. À vrai dire, une semaine avant la sortie, nous n’étions toujours pas sûrs d’être validés. Une fois les premières mises à jours passées, nous verrons comment élargir la liste et permettre aux utilisateurs d’ajouter les plateformes qu’ils souhaitent.
  • Google Play Store : liste limitée, mais les utilisateurs peuvent déjà ajouter les plateformes qu’ils souhaitent. Nous prévoyons d’élargir la liste ensuite.
  • F-Droid (bientôt) et téléchargement direct de l’apk : toutes les plateformes PeerTube que nous avons indexées sur SepiaSearch sont disponibles. Si une instance n’est pas déclarée dans notre index ou est modérée, vous pouvez l’ajouter manuellement.

Image explore plateforms PeerTube app

Download on F-Droid, alternative store for Android AppStoreBientôt Download on Google Play Store Download on Apple AppStore

🔗Télécharger le fichier apk🔗(Android/Expert)

Nous n’insisterons jamais assez sur le fait que leurs magasins ne sont pas prêts à accueillir des réseaux indépendants axés sur la solidarité. Par exemple, un petit lien de donation « soutenez-nous » dans le pied de page de notre site web ou même sur l’une des plateformes autorisées a déclenché un « non » de la part d’Apple.

Et c’est cohérent : comme on l’a vu dans leur combat avec Epic (propriétaire du jeu Fortnite) Apple prend sa part dans chaque achat in-app. Ils ont un intérêt économique à garder vos dépenses enfermées dans leur écosystème. S’il vous plaît, s’il vous plaît : pensez à récupérer votre liberté ;). Mème de Dewey déçu alors qu'il ne s'attendait à rien

Bientôt, dans l’application PeerTube

Entrer dans les très petites cases d’Apple (et de Google) a demandé du temps et de l’énergie, plus que ce imaginions. Nous avons décidé de publier une première version (incomplète) de l’application en décembre, et de l’améliorer progressivement.

Voici les fonctionnalités que nous prévoyons de développer et de partager pour l’application PeerTube :

  • Bientôt (début 2025)
    • Finaliser et publier les rapports sur le design et la stratégie mobile
    • Publier la documentation
    • Lire une vidéo en arrière-plan
    • Se connecter à son compte, s’abonner, commenter des vidéos
    • Prochaine recommandation de vidéo
    • Améliorer la situation de la liste des plateformes limitées
  • Ensuite (mi 2025 (si financé))
    • Adaptation aux tablettes
    • Adaptation aux téléviseurs (AndroidTV… AppleTV dépendra de leurs limitations)
    • Regarder hors ligne (pour les contenus téléchargeables)

Pour l’instant, nous attendons toujours le financement de ces fonctionnalités pour la mi-2025 (pour lesquelles nous avons demandé une subvention NLnet).

En fonction du succès et de l’utilisation de l’application, nous aimerions ajouter le cas d’utilisation du créateur de contenu à l’application. Mais ce n’est pas une mince affaire : télécharger et publier une vidéo, gérer son contenu, créer un livestream, etc. Nous nous demandons encore où, quand et comment obtenir des fonds pour cette entreprise.

Illustration - Sepia, læ poulpe mascotte de PeerTube, sort de l'écran d'un téléphone mobile.
Illustration de David Revoy – Licence : CC-By 4.0

Prendre soin, partager et contribuer !

C’est ici que nous avons besoin de vous.

Nous espérons que vous apprécierez cette application, que vous la téléchargerez et l’utiliserez, et que vous la partagerez avec vos amis. Il s’agit d’un nouveau moyen de promouvoir le contenu de PeerTube, d’attirer le public vers de fabuleux créateurs de contenu, de l’inciter à partager davantage et de relancer la boucle virale.

Cette application est également un moyen de montrer comment les médias peuvent être présentés, lorsqu’ils sont conçus avec soin pour votre agentivité et votre attention. Plus que jamais : partager, c’est prendre soin.

Download on F-Droid, alternative store for Android AppStoreBientôt Download on Google Play Store Download on Apple AppStore

🔗Télécharger le fichier apk🔗(Android/Expert)

 

Vous pouvez également contribuer en signalant des bugs (dans l’application), en aidant au code (voici le dépôt git), et en traduisant l’interface. Ce dernier point est important : pour l’instant, l’application n’est disponible qu’en anglais et en français. Vos contributions linguistiques sont les bienvenues sur notre plateforme de traduction.

Évidemment, nous prévoyons de maintenir l’application, d’ajouter des traductions, de corriger les bogues et d’effectuer des mises à jour de sécurité lorsque cela est nécessaire : mais cela a un coût. Nous avons besoin de sécuriser le budget 2025 de Framasoft pour pérenniser le poste de Wicklow dans notre équipe (ce qui est une priorité pour nous). Notre campagne de dons est active en ce moment, vous pouvez apporter votre soutien ici (et merci !).

illustration où des animaux mascottes de projets framasoft rassemblent des ballons sur deux piquets au sol. Les ballons prennent la forme d'un 20 géant.
Illustration de David Revoy – Licence : CC-By 4.0

Le challenge : 20 000 dons de 20€ pour les 20 ans de Framasoft !

Framasoft est financé par vos dons ! Chaque tranche de 20 € que vous donnerez sera un nouveau ballon pour fêter 20 ans d’aventures et nous aider à continuer et à décoller pour une 21e année. Framasoft est un modèle de solidarité :

  • 8 000 donateurs en 2023 ;
  • plus de 2 millions de bénéficiaires chaque mois ;
  • votre don peut bénéficier à 249 autres personnes.

jauge de dons au 10 décembre 2024 à 84 817 €

À ce jour, nous avons collecté 84 217 € sur l’objectif de notre campagne. Il nous reste 21 jours pour convaincre nos amis et récolter suffisamment d’argent pour faire décoller Framasoft. Alors, défi relevé ?

🎈🎈 Participer à la 21e année de Framasoft 🎈🎈