De Linux à Windows ou le témoignage d’une migration à contre-sens !

Greefus Groinks - CC by-saVoici un petit texte d’origine anglophone qui m’aura fait sourire. J’ai un peu hésité avant de le proposer dans notre Tribune Libre mais vu que c’est plutôt léger dans le fond et dans le forme je me suis dit qu’il pouvait tout aussi bien apparaître sur ce blog (qui lui aussi est plutôt léger dans le fond et dans la forme).

Nous savons bien à Framasoft ô combien il peut être parfois difficile pour l’utilisateur formaté malgré lui de passer de Windows[1] à Linux (mais on le travaille au corps depuis des années). Vous apprendrez ici qu’il est tout aussi difficile de faire le chemin inverse 😉

Comment passer de Linux à Windows – Une expérience utilisateur

Howto switch from Linux to Windows – a users experience

Matthias Endler – Licence Creative Commons By-Nc-Nd
(Traduction : Jacques Bon)

Depuis cinq ans, j’ai lu des tas d’articles expliquant « Comment passer de Windows à Linux en cinq leçons », « Changer de système d’exploitation facilement avec Linux », ou encore « Pourquoi vous devez donner sa chance à Linux ».
Malgré tout il y a toujours des gens pour dire que Linux est difficile à apprendre, Windows est plus facile à utiliser etc. Mais qu’en serait-il si le premier système d’exploitation que vous ayiez découvert, avait été non pas MsDos ou Windows95, mais un système libre dérivé d’Unix comme Linux ou BSD ?
Voici l’histoire d’un type, qui a toujours utilisé Linux qu’il a appris à utiliser tout jeune dans le cadre de son travail. Imaginez un instant que Linux est l’OS standard, et Microsoft une petite compagnie qui propose le système dénommé Windows XP. Soyons clair : il s’agit d’un texte satirique et fictif… Ne le prenez pas trop au sérieux ou alors passez votre chemin.

Mes premiers pas avec Windows XP

J’ai entendu parler d’un nouveau système d’exploitation appelé Microsoft Windows l’autre jour, et décidé de l’essayer parce qu’on le dit intuitif et facile à utiliser.

Malheureusement, l’auteur n’a pas prévu de LiveCD (NdT : ou CD bootable) permettant de tester ce système avant de l’installer.

Au lieu de le télécharger sur Internet comme je le fais habituellement, j’ai dû me rendre chez un revendeur pour l’acheter au prix de 265€ (il existe aussi une version « professionnelle » mais encore bien plus chère).

Sitôt rentré à la maison, j’ai ouvert la fameuse boîte, inséré le CD dans mon lecteur DVD et démarré le PC. L’écran d’installation se compose d’un simple fond bleu, et d’un menu facile à comprendre.

J’ai pensé alors à sauvegarder mes données, et essayé d’ouvrir pour cela une console virtuelle ; mais la commande normale CTRL-ALT-F1 ne marche pas (et m…) J’ai donc rebooté, fait ma sauvegarde, et recommencé l’installation à nouveau. Le menu présentait une option « Installer Windows XP », que j’ai sélectionnée.

Alors j’ai eu un drôle de message intitulé « Contrat de Licence de l’Utilisateur Final » (NdT : EULA ou CLUF), que j’ai dû accepter avant de pouvoir continuer. Comme je n’avais jamais entendu parler de ça avec Linux, j’ai pris la peine de lire ce long texte. Si j’ai bien compris, je n’ai pas le droit de redistribuer ce produit, ni même d’en faire une copie pour les copains. C’est en quelque sorte l’exact opposé de la licence que je connaissais auparavant, la licence GNU GPL. Après que j’aie accepté avec la touche F8, l’installation a continué.

Windows ne reconnait pas les partitions Ext3 et Reiserfs présentes sur mon disque dur, et me dit qu’il a trouvé des « systèmes de fichiers inconnus ». Curieux, j’avais toujours pensé qu’il s’agissait de systèmes de fichiers tout à fait standards ; mais bon, je peux me tromper. Il y a ensuite une option permettant d’écraser tout le disque, que j’ai choisie.

Encore une chose curieuse : Windows ne propose pas de créer une partition séparée pour mes précieuses données, mais seulement une grosse partition dans laquelle cohabitent système et données. C’est peut-être parce que Windows a un système de fichiers extrêmement sécurisé, qui effectue des sauvegardes automatiques en cas de perte de données. Enfin, je pense. Comme mon disque est assez gros, je n’ai pas pu le formater avec le système FAT32, mais seulement NTFS. Le formatage du disque a pris un temps fou.

Pas de chance, Windows ne permet pas non plus, comme le fait Linux, de sélectionner dans une liste, les packages que je souhaite installer. À la place, il installe tout sans rien demander. Les seuls ajustements que j’ai pu effectuer, étaient le réglage de l’horloge, et un truc nommé Clé d’enregistrement ou quelque chose comme ça. C’est une suite de 25 caractères alphanumériques que j’ai dû entrer à la main avant de pouvoir continuer.

Après un autre redémarrage, Windows est finalement installé et prêt. Enfin, presque, puisqu’il demande à être d’abord activé. C’est une façon pour Microsoft de contrôler par le web, toutes les clés d’enregistrement. Pas question ! Je clique sur Annuler et Windows me dit que j’ai une période d’essai de 30 jours, après quoi je devrai m’enregistrer. Ça craint…

La nouvelle interface apparaît, et je commence à oublier toutes les difficultés initiales. Je suis un peu dérouté par le fait qu’il n’y ait aucune proposition de créer un compte utilisateur pour le travail de tous les jours. Pour l’instant je suis en mode administrateur et ne me sens pas très à l’aise, vu que ma petite soeur va avoir les mêmes droits sur le système. Aucune option non plus, pour ajuster manuellements les droits sur les fichiers (quelque chose comme la commande chmod) et ça pourrait être aussi une lacune dangereuse sur une station de travail.

J’ai cherché de la documentation pour ajuster mon nouveau système, mais je n’ai vraiment rien trouvé d’utilisable (la touche F1 n’apporte aucune aide crédible). Soudain, un affreux pop-up apparaît dans le coin inférieur droit et dit quelque chose comme nouveau périphérique détecté. Une fenêtre apparaît dans le milieu de l’écran et me dit que je devrais insérer un CD de driver pour mon imprimante et cliquer sur Continuer. Tout d’abord je n’ai pas compris ce que ça voulait dire, mais je me suis rappelé ensuite qu’il y avait un CD livré avec mon imprimante, heureusement je l’ai retrouvé au fond du carton dans le grenier. Je clique sur Continuer et là le système m’avertit que mon driver n’a pas passé les tests de compatibilité et que je ferais mieux d’en trouver un autre. Un peu effrayé, je me risque malgré tout à cliquer sur Continuer et… Tout fonctionne parfaitement. C’est un peu irritant ce message idiot mais bon, je n’ai pas le temps de faire des histoires. Ensuite j’installe de la même façon le reste du matériel et suis prêt à surfer.

Comme il n’y a aucun parefeu ou antivirus installé, autant vous dire que je ne n’étais pas très tranquille en m’aventurant pour la première fois sur le web. J’ai surfé environ deux minutes, avant de recevoir un message d’un certain « Al Dick » me proposant une ration de Viagra pour six ans. Mis à part le fait que je n’en ai pas besoin (je vous assure…) c’est incroyablement ennuyeux.

J’ai trouvé sur le net une doc expliquant comment se débarrasser de ce genre de messages. En fait, Internet Explorer n’a pas de filtre contre les pop-ups et semble attirer la pub… Au bout d’un quart d’heure ma barre des tâches ressemblait à un champ de bataille rempli de spam, et j’ai dû fermer toutes les fenêtres à la main, une par une. Avec mon navigateur précédent (Firefox) j’avais la possibilité d’utiliser plutôt des onglets, mais IE semble bien avoir des standards et règles de navigation bien à lui. Mais c’était juste le début ! Quand j’ai voulu chatter avec mes copains, j’ai découvert que Windows Messenger ne supporte pas plus ICQ, AIM, ou TOM, que Jabber. À la place on me demande de me créer un compte MSN pour pouvoir continuer, ce que j’ai refusé.

Ensuite j’ai voulu regarder un DVD que je venais d’acheter en Allemagne. Mais Windows Media Player me dit que je ne peux l’utiliser sur mon PC, à cause d’un prétendu « code région ». Un peu troublé, je demande à un copain qui me dit qu’il s’agit en fait un transfert de données entre un PC sous Windows, et Microsoft, qui leur permet d’analyser mon matériel et les logiciels installés. Le choc ! J’ai payé une fortune pour avoir un système stable, sécurisé, qui respecte ma vie privée, et pas un truc bogué et ouvert à tous les vents.

J’ai voulu jeter un coup d’oeil au code-source pour voir si ces accusations étaient vraies mais… je n’ai pas pu, vu que le code-source n’est pas livré avec ! Et je ne parle même pas de la pseudo hierarchie du système de fichiés de XP, où les fichiers de configuration du système sont dans C :WindowsSystem au lieu de /etc.

Je suppose que vous ne souhaitez pas savoir ce qu’est la défragmentation (sous Linux ça n’est pas nécessaire) ; je ne vous parlerai pas non plus du pseudo-terminal calamiteux appelé Invite de commandes, ni pourquoi vous ne devriez jamais ouvrir une pièce jointe à un email dans Outlook Express.

Après que le système ait planté quand j’ai tenté de graver un CD avec l’outil maigrichon fourni avec le système tout en utilisant le tableur du pauvre ersatz d’OpenOffice qu’est « Office XP » (au passage, qui m’a coûté encore 119 €, un peu moins en fait car je suis étudiant), j’ai tout remis en vrac dans la jolie boîte verte que j’ai ramenée au magasin.

Le même jour, j’ai réinstallé Linux après cet aperçu de ce système mono-utilisateur, mal dégrossi, nommé Windows XP, qui sera sans doute apte à un usage personnel d’ici cinq ans. En attendant, je profite de la liberté avec BSD, Open Solaris et Linux !

Notes

[1] Crédit photo : Greefus Groinks (Creative Commons By-Sa)




DADVSI la culture m’était comptée…

Dans la série Je connais déjà mais pourquoi ne pas en profiter pour signaler la ressource à mes proches je refais tourner ce pertinent petit documentaire sur le projet de loi DADVSI (enfin malheureusement ce n’est plus un projet maintenant mais une réalité).

D’une durée de 30 min. et sous licence Creative Commons BY-NC-ND, ce reportage a été réalisé en mars 2006 par Jean-Luc Forêt (au moment où le projet de loi passait au Sénat).

En voici le pitch :

« DADVSI la culture m’était comptée » montre le regard de dix femmes et hommes, professionnels des mondes artistique, associatif, syndical et politique sur le débat provoqué par le projet de loi DADVSI, visant à règlementer l’accès aux cultures numériques.

Parmi ces hommes et femmes, on remarquera la présence de Tristan Nitot (Mozilla-Europe), Christophe Espern (EUCD.info) et Mélanie Dulong De Rosnay (Creative Commons France) que nous connaissons bien à Framasoft. Le film est visible et téléchargeable sur le site de l’association Tutti Frutti (dont on trouvera une retranscription).

Je l’ai montré à mon père, il a trouvé cela tout à fait intéressant 😉




Autre chose que quelque chose que l’on vous impose

Voici un petit reportage du 12/13 de France3 édition Lorraine Champagne-Ardenne sur les logiciels libres (mai 2006) à l’occasion de la Fête de l’Internet et pour annoncer les prochaines RMLL dans la région.

On remarquera tout d’abord la difficulté de bien écrire et prononcer "Ubuntu", qui donne ici "Obountu", alors même que le mot apparait plusieurs fois dans le reportage !

Mais ce qui m’a frappé c’est le témoignage de cet utilisateur lambda :

J’ai un ordinateur chez moi depuis quatre ou cinq ans, mais je me suis aperçu que quand on voulait un ordinateur il n’y avait qu’une marque pratiquement il y avait Windows. Windows ceci Windows cela et éventuellement Mac et puis c’est tout. Bien alors je me suis dis je vais essayer d’aller voir si il n’y a pas autre chose de plus libre où on peut essayer de faire autre chose que quelque chose que l’on vous impose.

Et le reporter de conclure : Un utilisateur averti en vaut deux. Vous ferez peut-être partie bientôt des passionnés qui échangent leurs idées sur le logiciel libre !

(vidéo trouvée sur DailyMotion)




Et si on créait un osalt.com francophone ?

osalt.com logo

Osalt.com kézako ?

Connaissiez-vous l’intéressant site anglophone osalt.com ? Peut-être pas.

Voici son objectif :

Find open source software alternatives to well-known commercial software – like Windows, Visio, Photoshop or Captivate.
Our mission is to provide easy access to open source alternatives to well-known commercial products. Remember that open source software is also a freeware alternative.

Il s’agit donc de faciliter la recherche de logiciels libres alternatifs en les associant constamment aux plus célèbres logiciels commerciaux qu’ils sont susceptibles de remplacer. Par commerciaux on entend ici les logiciels propriétaires le plus souvent payants mais on trouve également dans la base quelques gratuits comme Skype ou MSN.

Illustration par l’exemple.

Prenons un exemple propriétaire avec la page Dreamweaver. On y trouve bien entendu une courte description et le lien vers le site officiel mais tout de suite plus bas on vous propose une liste de potentielles alternatives libres : Nvu, Mozilla SeaMonkey, Bluefish et Quanta Plus. On notera que ces deux derniers logiciels ne sont pas disponibles sous Windows, autrement dit le choix est multiOS ce qui est une bonne idée. Autre bonne idée celle de proposer un alias pour l’url : http://opensourcealternative.to/dreamweaver. Du coup si je cherche une alternative à Photoshop par exemple je n’ai même pas à parcourir le site, il me suffit de retenir la syntaxe de l’adresse pour la taper directement dans mon navigateur : http://opensourcealternative.to/photoshop.

Prenons désormais un exemple libre avec la page Scribus. Après la description une première liste apparait, celle des logiciels libres similaires (OpenOffice Draw, Kword). Ensuite vient une seconde liste, celle des logiciels propriétaires que Scribus peut substituer (Adobe InDesign, Microsoft Publisher, QuarkXPress). Enfin, et là encore c’est une bonne idée, on a tout en bas le fil RSS des nouveautés de Scribus, histoire de se tenir au courant en temps réel des évoutions du soft (idée à reprendre dans notre annuaire assurément).

Petite lecture critique

Première critique qui n’en est pas une : le site est en anglais ! En fait c’est juste une constatation 😉

Deuxième critique (qui n’en est toujours pas vraiment une) : celle de la pertinence.
Il est en effet a priori osé de proposer par exemple KWord comme alternative à QuarkXPress mais on est bien placé à Framasoft pour savoir que l’art de la comparaison est difficile. En fait tout dépend des besoins de l’utilisateur. Si ceux-ci sont basiques alors cela peut tout à fait convenir.

Troisième (et véritable) critique : celle d’une certaine déontologie.
Cela nous vous aura pas échappé mais la pub Google est omniprésente. Toute la panoplie est utilisée (bannières, liens, boutons, moteur de recherche…). D’ailleurs sur les 5 colonnes de la mise en page, 2 lui sont totalement consacrées.
C’est typique d’une nouvelle manière de faire sur le Net (à la sauce web 2.0 ?). Si on caricature et prête de mauvaises intentions à l’auteur alors ça donne le processus suivant : 1. Je veux me faire de sous via le Web 2. Je me demande quel service je peux rendre aux visiteurs afin qu’ils viennent nombreux sur mon site 3. Je crée le site en plaçant de la pub Google un peu partout 4. Je me débrouille pour faire mon trou dans le social networking en espérant que mon site apparaisse souvent sur des sites comme del.icio.us ou digg par exemple.
Je répète que ce n’est peut-être pas le but premier de l’auteur et quoiqu’il arrive il reste le service rendu (en l’occurrence ici la diffusion du libre). Mais bon je sais pas trop, ça me chiffonne un peu de savoir que peut-être l’auteur ne partage pas spécialement l’état d’esprit du libre en fait. Quand on a un site qui bouffe de la bande passante comme les sites de musique, ça se comprend parce qu’il y a un coût important derrière mais là, vu que c’est que du texte et que les seules images sont pour la pub, j’ai quelques doutes que je n’arrive pas à évacuer.
Dans ce contexte je trouve que la traduction du site dans d’autres langues est un peu bloquée n’imaginant pas des contributeurs se lancer tête baisée là-dedans.

Un osalt.com à la sauce Framasoft ?

Il n’empêche que l’approche est bonne. Et comme il me semble trop délicat de bidouiller notre annuaire de logiciels libres pour proposer la même chose directement dedans (d’autant que l’idée n’est pas la même), je me dis que ça pourrait être intéressant de copier le concept pour proposer de créer un site similaire mais en français cette fois (et bien entendu sans la pub).

Le principal problème c’est que la disponibilité des membres permanents de Framasoft est nulle pour le moment. Autrement dit si cela motive l’un d’entre vous de monter un tel projet, il est le bienvenu !

On lui prend un nom de domaine, un espace sur notre serveur dédié, on se choisit le bon CMS (voire une bidouille php/sql perso), un joli logo, on lui réserve un salon dédié sur nos forums et… roule ma poule 😉
A charge pour ce gentil volontaire devenu chef de projet d’animer le bouzin en concertation avec le reste de l’équipe (par exemple pour lier d’une manière ou d’une autre ce projet avec notre annuaire justement). Du coup il deviendrait partie intégrante de l’équipe et ça tombe plutôt bien parce qu’on manque cruellement d’énergies actuellement.

L’avantage, en tout fausse modestie, c’est que Framasoft a les ressources et les capacités pour accompagner sa création et donner assez rapidement de la visibilité à un tel projet (ainsi ce modeste blog n’est pas loin du millier de visiteurs par jour alors même qu’il n’a que 2 semaines d’existence).

Alors, ça tente quelqu’un ?




The Urban Tale bientôt sur vos écrans

Je sais pas vous mais moi, à regarder la bande-annonce, je brûle d’impatience de voir (enfin) arriver la sortie de The Urban Tale (ndt : le conte urbain).

Initié par Lacrymosa Industry et accompagné par ses amis de la communauté Copyleft, il s’agit d’un projet de film d’animation 3D ayant pour vocation de promouvoir l’art libre (et sa licence éponyme).

En voici le pitch : Maud, une jeune artiste, prend le dernier métro. La station est déserte. Elle s’installe tranquillement dans une rame vide alors qu’un jeune homme étrange vient s’assoir face à elle et lui offre un écouteur de son baladeur, le temps d’un voyage…

En attendant on peut déjà en écouter et/ou télécharger la superbe musique (libre bien entendu) sur Dogmazic (ex Musique-Libre.org, je m’excuse mais je n’arrive pas encore à m’y faire). Une fois de plus j’apprécie beaucoup Delgarma et son morceau Libre comme l’air à l’écoute ci-dessous (j’ai pas pu résister) mais les autres sont pas mal non plus.

Euh… d’ailleurs à ce propos et sans vouloir démarrer un troll flameware, j’aimerais bien savoir pourquoi on peut lire ceci sur le site du projet : Retrait temporare de l’album, pour cause de mésentante totale avec le site Jamendo et sa vision de la liberté.




Autosatisfaction recursive sur LinuxFr

En allant (re)chercher notre librellule sur le site de son auteur Johann Dréo, je me suis arrêté sur cette petite planche qui m’a fait sourire.

Peut-être que vous aussi ? (bon, je vous l’accorde, il vaut mieux être un habitué de LinuxFr !)

Récursivité

BD LinuxFr by Johann Dréo

Il y d’autres planches sur l’url d’origine du document.

PS : Rien à voir mais on notera sur son site une réponse à l’un de nos articles de la Tribune Libre sur Wikipédia.

<edit> : un fidèle lecteur me signale la présence d’autres planches sur le blog de l’auteur dont les deux ci-dessous.

Captain QI

BD copyright Johann Dréo

Ignorance rime avec arrogance

BD Windows Johann Dréo




Ma librellule mascotte (en bêta)

libellule originale johann dreo

Dans la série les goodies que nous ressortons du placard grâce au Framablog (voir ce billet), il y a cette mignonne petite libellule créée par Johann Dréo il y a un (sacré) bail de cela sur linuxgraphic.org.

libellule linuxgraphic johann dreo

Je l’ai baptisée librellule lors d’une poussée imaginative aigüe dont j’ai le secret (Loli c’est pas mal non plus remarquez).

libellule croquis 1 johann dreo

On ne l’a jamais utilisée mais je dois avouer que j’ai un faible pour elle et ça ne m’étonnerait pas qu’on réussisse à la caser quelque part (d’autant qu’elle est sous licence ouverte Creative Commons BY-SA).

libellule croquis 2 johann dreo

Vous la retrouverez dans la galerie de Johann Dréo en compagnie d’autres petits dessins sympathoches (et toujours sous la même licence).




Votre clip Firefox préféré ?

Dans la série "exploitons gratuitement" les ressources créatives des internautes pour la bonne cause (et non pour faire le jeu d’une quelconque start-up web 2.0), l’opération de promotion Firefox.Flicks, où les vidéastes amateurs (ou non) étaient invités à réaliser un clip de 30 secondes pour notre navigateur préféré, a donné lieu à des créations riches et variées (*).

Voici ma sélection (url d’origine) :

Et vous ?

(*) Un peu longue la phrase non ?