Facebook, difficile de s’en défaire…

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Réagissant au dernier billet du Framablog  : Où est le bouton «  J’aime pas  » Facebook  ?, Odysseus s’est fendu d’une figure entre fantastique et métaphore… [1]

Odysseus - Licence Art Libre

Notes

[1] Copyleft  : cette œuvre est libre, vous pouvez la copier, la diffuser et la modifier selon les termes de la Licence Art Libre

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Gribouilleur, scribouillard, docteur en informatique (généraliste conventionné secteur 42), anar, irréaliste & irresponsable, compagnon de route de Framasoft.

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6 Responses

  1. Hell Pé

    Je repose ma question de l’autre billet, en la reformulant : y’a t’il un moyen de voir une « seed » – une page publique de profil, quoi – de DIaspora, sans pour autant créer son compte ? J’ai tenté de chercher dans Google mais je ne vois pas vraiment quoi saisir.

  2. Sandy

    Je n’aime pas Facebook, et pourtant, j’y suis ! Ne pas chercher à comprendre ! En tout cas, j’aime beaucoup ce dessin ! Bravo !
    Venue sur ce site grâce à Twitter et je retwitte !

  3. asze

    Pas convaincu. J’aurais plutôt vu quelqu’un qui regarde facebook comme hypnotisé, tout en essayant de s’éloigner. Le truc de facebook c’est l’emprise qu’il a sur nous, mais pas physiquement ou violemment. Même quand on est plus sur facebook, on s’informe ou est informé de ce qui se passe « sur facebook », « autour de facebook », « à propos de facebook ». Bref, personne n’essaie de s’arracher de facebook comme sur le dessin.

  4. FLOSSMonk

    @Kekun
    C’est un bouton pour partager le lien seulement je pense.

    Le bouton « j’aime » en revanche est en fait un script, qui agit de la même manière qu’un script de suivi Google Analytics.
    Même sans cliquer dessus, l’éxécution du script permet à Facebook de collecter des informations.
    Voir à ce sujet le billet http://libre-ouvert.toile-libre.org
    que j’ai trouvé sur http://planet-libre.org/ (découvert il y a peu de temps)

    Pour ma part, j’ai un compte sur Facebook, et à part y faire de la propagande libertaire et de la sensibilisation que je fais aussi publiquement, je n’y raconte pas ma vie (la seule chose vraiment personnelle que Facebook détient sur moi, du coup, est ma liste d’amis, qui sont des camarades d’école principalement, donc bon).

    A mon humble avis, il vaut mieux tenter de sensibiliser les gens inscrits sur Facebook, plutôt que de rejeter toute une catégorie de la population, en condamnant leurs actions dans des débats auxquels ils n’ont « pas accès », du fait de leur enfermement dans l’interface de Facebook.
    Aller vers les gens, c’est leur permettre de s’ouvrir l’esprit à ce vers quoi ils n’auraient pas l’intuition de se diriger.

    (Oui, je me fais souvent démarcher par les Témoins de Jehovah dans la rue, d’où le discours d’inspiration peut être un peu évangéliste. ;o )