Dan Bull, la vérité vous rendra libre

Classé dans : Communs culturels, Musique | 7

Temps de lecture 1 min

image_pdfimage_print

Dan Bull CC-By-SAPlus que jamais d’actualité suite à l’annonce par WikiLeaks du début de la publication de 250 000 câbles diplomatiques américains, voici une (relativement) nouvelle chanson de Dan Bull, sous-titrée comme pour les précédents morceaux par la fine équipe  : Koolfy plus Framalang.

Dan Bull – WikiLeaks et le besoin de liberté d’expression

Dan Bull – WikiLeaks and the Need for Free Speech

—> La vidéo au format webm
—> Le fichier de sous-titres

7 Responses

  1. ®om

    « Flash version 9,0 or greater is required. You have no flash plugin installed. »

    Ce n’est pas sur Framablog que je pensais lire ça un jour…

  2. Siltaär

    @®om : en effet, il serait temps qu’Universal Subtitles se préoccupe d’HTML5.
    En attendant, la vidéo est disponible en HTML5 directement sur Framatube : http://framasoft.blip.tv/file/43223… (mais sans les sous-titres)

    Et il existe encore TinyOgg.com pour voir en libre et en quelque minutes les vidéos des grands sites tordant le web en une télévision 2.0

  3. LL2Mercure

    En hommage à L.L. de Mars http://tinyogg.com/watch/rvpll/

    C’est « une introduction » qui bouleverse, « une introduction » coup de point. Ça va vous chercher des choses tout au fond, ça vous remue, c’est un grand choc pour tout le monde. « une introduction » qui ne laissera personne indifférent, moi ça m’a beaucoup ému, beaucoup. On est plus habitué à une telle simplicité, une telle force, une telle sincérité, on sent que l’auteur est un grand sensible.

  4. modagoose

    La connaissance rend libre.

    la Vérité ?

    Laquelle ?

    La vérité est une interprétion de la réalité, pas une chose objective qui s’impose à tous de la même façon.

    Pour ce qui est de Wikileaks, je ne sais pas ce qu’il faut en penser.

    Les données brutes c’est bien gentil mais il faut du temps et des capacités pour pouvoir les interpréter, ce n’est donc pas LA vérité, mai celle des gens ( journalistes, analystes, bloggueurs ) qui interprètent ces données brutes qui, ensuite, nous deviennent accessibles.

    Ce n’est donc pas LA vérité mais une manipulation, puisque l’analyse se fait au travers du prisme d’un ou plusieurs indvidus, tout comme le photo-reporter qui transforme la réalité par le choix du sujet et du cadrage.

    Ce n’est donc pas La liberté.

    Wikileaks ne libère personne, ce site ne fait que confirmer, pour ceux qui l’ignoraient, que nous sommes manipulés, même aujourd’hui à l’ère de l’information continue en temps réel et accessible à tous.

    Cette manipulation se fait à l’échelle d’une planète.

    Nous ne pouvons avoir confiance en rien, ni personne, même pas en Wikileaks.

  5. Ginko

    modagoose,

    C’est bien de relativiser la notion de vérité, mais on ne peut pas la nier totalement. Il y a des degrés d’objectivité.

    On peut raisonnablement considérer que plus les couches d’interprétation s’empilent sur une information, plus elle risque de perdre en objectivité. Autrement dit, la donnée brute est plus fiable que ses interprétations. (Je n’ai pas dit que la donnée brute est absolument fiable!).

    A partir de là, même si on ne tient pas la vérité pure grâce à wikileaks, on approche tout de même d’une réalité. Et quand je dis « on », ce n’est pas une élite journalistique, politique ou sociale, c’est TOUT LE MONDE. Et ça c’est une révolution.

    Concernant la confiance… c’est une affaire de prise de risque. A partir du moment où tu n’es pas omniscient, tu dois prendre le risque de faire confiance si tu veux t’appuyer sur une personne ou une information. Sinon, tu te débrouilles tout seul. Ça marche, mais c’est pas très fun.

    Et c’est marrant que tu parles de confiance puisque Wikileaks est justement une affaire de confiance: son but est de restaurer la confiance entre les informateurs et les journalistes qui n’existe quasiment plus à cause du laxisme et de l’incompétence de beaucoup de journalistes (balançage de source, censure, etc). Ce miracle doit se réaliser grâce à une intransigeance sur la protection de la source et à une maitrise de la technologie (sécurisation des échanges, etc).

  6. johnjohn

    Ennorme.
    Par contre, c’est un peu chiant qu’il manque le bouton « enbeded » sur opensubtitle.
    Bravo et merci à framablog