Temps de lecture 1 min
En ce moment, ça discute beaucoup autour de StopCovid, le projet d’application de traçage pour lutter contre la pandémie de COVID-19. Notre dessinateur Gee vient donc apporter son pavé dans la trogne mare sous forme d’une BD – un poil – énervée.
Sources :
- L’ensemble du dossier StopCovid (Framablog)
- Estrosi veut qu’Enedis vérifie que les résidences secondaires ne soient pas occupées, le syndicat réagit (Nice Matin)
- Quantifying SARS-CoV-2 transmission suggests epidemic control with digital contact tracing (Science)
- En mars, le gouvernement a lancé l’achat de gaz lacrymogènes plutôt que des tests du coronavirus (Reporterre)
- Les Jours heureux / Programme du Conseil national de la Résistance (Wikipédia)
Crédit : Gee (Creative Commons By-Sa)
CAMPMAS
Bonjour.
Le lien RSS vers le flux des publications semble ne pas fonctionner.
Cordialement.
Jean-Louis
Quentin
D’autant plus que la proposition technique pour StopCovid, nommée ROBERT, donne plus de pouvoir aux autorités et n’assure pas l’anonymat aux yeux de ces dernières contrairement à ce qui a été annoncé. Mon raisonnement : https://quentin.dufour.io/blog/2020-04-20/stopcovid/
Bert
Bonjour
Selon le professeur Graout, après observation d’un panel de 10 plants de carottes pris totalement au hasard, ceux autour duquel le professeur a dansé en chantant du Sardou auraient poussé de 2.5 cm de plus que les autres. Et suite aux doutes d’une partie de la communauté scientifique sur sa méthodologie, l’expérience a été reconduite, avec 50 plants pris totalement au hasard. Si le professeur a tourné autour de certains plants en chantant du Sardou, certains de ses assistants ont eux tourné en chantant saga africa de Yannick Noah. Une croissance équivalente a été constaté pour les plants du professeur, tandis qu’un fort taux de mortalité a touché ses assistants.
PAGANON Michelle
Ce que je reproche au Gouvernement actuel, ce n’est pas de prendre des mesures parfois inefficaces et coûteuses, mais de se montrer autoritaires et de prendre plaisir à l’être.
Devant la difficulté à se fournir en masques, j’ai eu l’impression de vivre dans une république bananière.
En attendant, nous entrons tout droit dans un régime de dictature.
Bonne journée quand même.
OA
Si crise sanitaire il y a, c’est chez les puissant.e.s. Pour la comprendre, pas besoin de l’épidémiologie, la psychiatrie suffit.
La solution : internement en hôpital psychiatrique et camisole chimique grâce aux petits bonbons produis par les copains.
Après quelques semaines dans le brouillard total : abonnement à la CAF et Pôdemploi puis direct aux travaux forcés… heu… je veux dire dans les champs ou le bâtiment quoi.
Après quelques mois dans cette nouvelle vie : on reparle des réformes… comme celle des retraites, par exemple.